Important Records est un label américain indépendant créé par John Brien en 2001, qui publie certains des meilleurs albums d'une grande variété d'artistes reconnus ou émergents, de l'indie rock à la musique d'avant-garde en passant par l'electronica, dont James Blackshaw, Eliane Radigue, Jozef Van Wissem, Catherine Christer Hennix, Duane Pitre, ELEH, Pauline Oliveros, The Thirteenth Assembly, David Rothenberg, Diane Cluck, Acid Mothers Temple, Christina Kubisch, Merzbow, Smegma, etc.
Christina Kubisch au sommet de son art, mêlant des enregistrements d'ondes électromagnétiques à une partition pour six voix, pour un résultat d'une grande puissance, fruit d'une collaboration avec l'ensemble vocal norvégien Trondheim Voices et d'une expérience singulière lors de la recherche et de l'enregistrement d'ondes électromagnétiques dans la ville de Trondheim.
Une pièce d'une heure en quatre parties, écrite pour quatre violoncellistes, interprétée par Tyler J. Borden, Laura Cetilia, Charles Curtis et Judith Hamann, sous la supervision d'Alvin Lucier.
Les interprétations live studio en 1980 de la première œuvre d'Éliane Radigue pour synthétiseur modulaire (1971) et de Triptych (1978), les meilleures versions jamais données à entendre aux dires de la compositrice elle-même.
Un disque réunissant deux compositions inédites complémentaires, une œuvre conceptuelle, processuelle et hypnotique d'Alvin Lucier et Jordan Dykstra et une pièce pour ensemble (violoncelle, violon, alto et deux percussions) de Jordan Dykstra.
Initialement paru sur le label Round Records du Grateful Dead en 1975, Seastones de Ned Lagin est une composition électronique pionnière qui entrelace des métaphores sur la nature, la science, l'art et les origines de la musique.
L'un des albums de drone les plus profonds jamais enregistrés : neuf trombones, un didjeridoo et des cloches tibétaines remplissent de réverbérations sonores denses et puissantes l'immense citerne où a été enregistré le légendaire album Deep Listening de Pauline Oliveros, Stuart Dempster et Panaiotis.
Une pièce de 1970 constituant une tournant majeur dans l'œuvre sonore d'Eliane Radigue, témoignant du dialogue à la fois intense et poétique qu'elle entretient avec la matière solide du son et inaugurant les transformations imperceptibles, la suspension et l'étirement du temps qui deviendront sa marque de fabrique.