Le troisième volume de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, autour de la question des intelligences artificielles (contributions de Keith Fullerton Whitman, Steve Goodman, Florian Hecker, Robin Mackay, Bill Orcutt, Akira Rabelais, Lucy Railton, Jean-Claude Risset, Sébastien Roux...).
Un album créé à partir d'une performance live en 2018-2019, commandée par CTM à Berlin et Sonic Acts à Amsterdam et réalisée sur l'acousmonium du GRM. La musique est inspirée par – et dédiée à – la recherche pionnière de la compositrice et artiste Maryanne Amacher (1938-2009) autour de l'holophonie, et créée entièrement sur le synthétiseur analogique Serge Modular.
Le premier album résultant de la collaboration entre le compositeur / producteur Britton Powell, la compositrice / violoncelliste Lucy Railton et le musicien électronique et producteur Brian Leeds (Huerco S), issu de sessions d'improvisation et d'enregistrement immersives au Gary's Electric Studio de Brooklyn en 2018.
Le projet le plus complexe et abouti de l'artiste et compositrice australienne, entre électronique, éléments de musique concrète, timbres acoustiques et synthétiques (peignes en bois, microphones de contact, piano, cordes et feedbacks), mélodies subliminales et atmosphères hypnotiques.
Le nouvel album de l'artiste, musicienne expérimentale et poétesse française mêle avec grâce atmosphères intimistes, cut-up poétique, Satie, Ravel et Debussy, et invite Stephen O'Malley de SUNN O))) pour un final de 19 minutes.
Une partition à 51 voix destinée à reproduire le son de la mer, présentée sous forme de feuilles volantes sous pochette transparente. Un hommage de David Horvitz à Pauline Oliveros.
Félicia Atkinson et Jefre Cantu-Ledesma ont pensé cette nouvelle collaboration comme un ensemble de paysages sonores peuplés de références littéraires et cinématographiques, de la poésie de Sylvia Plath aux films de Hal Hartley et Wong Kar Wai. L'album porte en lui l'étrange écho des années 1990, matérialisé par la pochette réalisée par le photographe Julien Carreyn.
Le neuvième album solo du compositeur et percussionniste américain s'inspire de sa récente installation à Manhattan, où fut produit Stadium. S'appuyant sur des enregistrements de terrain réalisés en ville, il développe un récit sonore où s'insèrent percussions, claviers et instruments acoustiques. Ses parties de batterie et de percussions sont poussées ici vers de nouveaux sommets avec des arrangements de cordes et de cuivres fascinants, ciselant un jazz électro-acoustique à la fois rigoureux et foisonnant.
La bande sonore de la pièce de Gisèle Vienne The Pyre, composée par KTL (Stephen O'Malley et Peter Rehberg). Une composition toute en tension, marquée par la voix hantée de Dennis Cooper.
Pour son premier disque en 6 ans, Thomas Ankersmit rend hommage au compositeur hollandais Dick Raaijmakers, pionnier de la musique électronique et artiste multimédia décédé en 2013. Empruntant ses techniques de composition et d'enregistrement, Ankersmit a réalisé un album entièrement analogique qui s'inspire des recherches de Raaijmakers autour de l'holophonie… phénomène faisant entrer en résonance l'oreille interne de l'auditeur.
Lors de son exposition à la Westfälischer Kunstverein de Münster, l'artiste plasticien Zin Taylor a invité les deux musiciens Christina Vantzou et John Also Bennett à interpréter un dessin mural de 90 mètres de long comme une partition musicale. Cette édition vinyle propose l'enregistrement de cette performance minimale et mystérieuse, accompagné d'une reproduction du dessin mural sous la forme d'un leporello de 180 cm.
Publié à l'occasion de l'exposition de l'artiste au Mudam Luxembourg, ce catalogue, au format d'une pochette de disque vinyle, se concentre sur la série Timescape, un ensemble de peintures abstraites inspiré des représentations du cosmos. Produit conjointement à la publication, le disque All Things Pass est la bande sonore d'une installation vidéo éponyme, mariage de la musique traditionnelle d'Inde du Nord (avec la participation de maîtres du genre) et d'une approche expérimentale, exprimant les liens entre vie cosmique et humaine.
Le deuxième album solo de la musicienne japonaise est le résultat de dix années de recherches sur les propriétés acoustiques de l'eau, dans la lignée de son précédent opus sorti en 2009. Basée sur l'utilisation des waterbowls – bols en porcelaine remplis d'eau et amplifiés via des hydrophones – sa pratique musicale s'enrichit ici d'improvisations avec l'environnement et d'expérimentations autour du larsen hydrophonique.
Le deuxième album solo de la musicienne japonaise est le résultat de dix années de recherches sur les propriétés acoustiques de l'eau, dans la lignée de son précédent opus sorti en 2009. Basée sur l'utilisation des waterbowls – bols en porcelaine remplis d'eau et amplifiés via des hydrophones – sa pratique musicale s'enrichit ici d'improvisations avec l'environnement et d'expérimentations autour du larsen hydrophonique.
Pendant visuel aux productions sonores récentes de l'artiste et musicienne expérimentale, ce livre d'artiste se compose de photographies de paysages du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, sur lesquelles se superpose une série de dessins réalisée en Australie. Accompagnées de textes poétiques sur le thème du souvenir, ces créations plastiques font écho aux travaux de Brian Eno et d'Harold Budd, mais également de Clifford Pourtant, Helen Frankenthaler, Amy Sillman ou encore de John Baldessari.
Les musiciens électroacoustiques italiens Giuseppe Ielasi et Nicola Ratti renouvellent leur collaboration sous le nom de Bellows. Enregistré au cours d'une session improvisée de quatre jours, l'album oscille entre mélodies fantomatiques, musique concrète et sons analogiques.
L'œuvre musicale la plus ambitieuse de Félicia Atkinson à ce jour, Hand In Hand mêle l'esthétique anxieuse et science-fictionnelle des années 1980 à la transparence des sons digitaux actuels. Plaçant la voix à l'épicentre de l'enregistrement, l'artiste et musicienne française convoque fiction, composition et abstraction à la manière de Joan La Barbara, Robert Ashley ou de Delia Derbyshire.
La musique du duo suédo-australien Native Instrument propose un savant mélange d'expérimentations vocales et de field-recordings d'animaux. Composé de quatre collages sonores hybrides, leur premier enregistrement intitulé Camo évoque une soirée clubbing en pleine jungle tropicale.
Livre d'artiste rassemblant 200 illustrations choisies parmi une sélection d'images collectées et d'œuvres originales de Felicia Atkinson. Cet ensemble photographique en noir et blanc constitue un voyage à travers un territoire inconnu, distordu et flou, où chaque paysage et chaque objet émet sa propre fréquence sémantique, symbolique et sonore.
Livre d'artiste composé de collages réalisés à partir de publications d'époque : un travail centré sur les relations entre l'abstrait et le figuratif, la nuance et les techniques d'impression, pour un résultat s'apparentant à une archive documentaire futuriste.
Enregistré entre New York et les Alpes, Comme un seul narcisse est le résultat de la collaboration entre l'artiste française Félicia Atkinson et l'expérimentaliste Jefre Cantu-Ledesma – une conversation épistolaire postmoderne composée de fragments sonores et de mélodies échangées, un écosystème musical hétérogène libéré des contraintes du lieu.
Troisième œuvre de fiction de l'artiste et musicienne française, Animals questionne, à travers une approche poétique, l'appréhension moderne du temps et du transport. Avec une utilisation parcimonieuse des mots, Atkinson parvient à construire un monologue rythmé ponctué de collages en noir et blanc.
Méditation électroacoustique sur la captation des souvenirs, Zauberberg évoque la persistance d'une force auratique au sein d'un lieu, ici les montagnes suisses qui servirent de décor à La Montagne magique de Thomas Mann.
Mêlant enregistrements de terrain et entretiens, un portrait acoustique du lac de Salton Sea dans le désert californien, né d'une collaboration entre Bonnetta et le photographe américain Ron Jude.
Une compilation subjective de David Le Simple & Vincent Romagny (réalisée en conjonction avec un cycle de trois expositions), composée d'œuvres sonores d'artistes, de poésie sonore et de performance, de musiques de compositeurs cultes, de groupes mythiques et d'inclassables, ainsi que de reprises réalisées spécialement pour ce disque.
Vingt-et-un collages abstraits de l'artiste suédoise, entre peinture et sculpture, réalisés entre 2014 et 2015, reproduits à l'échelle 1:1 (livre d'artiste).
Le nouvel album de la musicienne / plasticienne / écrivaine (un « oratorio concret / post-numérique en cinq actes ») : un disque à la fois conceptuel, surréaliste, poétique et totalement immersif, emprunt des références littéraires et musicales de Félicia Atkinson.
Une nouvelle de science-fiction gay écrite en anglais par le curator espagnol : une célébration de la « faggotry » du monde de l'art et des plus beaux hommes homosexuels sur terre.
La musique de Gabriel Saloman (membre du groupe Yellow Swans) pour le spectacle de danse « Re-Marks on Source Material » de la chorégraphe canadienne Daisy Karen Thompson.
Première monographie consacrée au travail de la photographe française : six séries d'images « brutes » et hallucinées réalisées entre 2006 et
2011, lors de parades rituelles de personnages costumés et masqués dans diverses campagnes et montages d'Europe.