Le cinquième volume de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, sur le thème de la diffusion (avec François J. Bonnet, Marja Ahti, Scott Arford, Nicolas Debade, Michael Gatt, Tim Ingold, Rolf Julius, Jules Négrier, John Richards, Marina Rosenfeld, Hildegard Westerkamp, Randy Yau...).
Pour son deuxième album chez Shelter Press, Lisa Lerkenfeldt mêle musique concrète, expérimentation électroacoustique, composition instrumentale et cinéma surréaliste à partir d'arrangements de piano, de violoncelle et de bandes magnétiques qui constituent une sorte de journal intime en patchwork.
A la suite de l'album célèbré World in World, Jules Reidy propose une suite de pièces immersives composées essentiellement à partir d'une guitare électrique hexaphonique accordée en intonations justes, qui invitent à un nouveau voyage à la fois réconfortant et surprenant.
Le quatrième volume de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, autour de la question de la voix (avec François J. Bonnet, John Giorno, David Grubbs, Lee Gamble, Sarah Hennies, Joan La Barbara, Pierre Schaeffer, Peter Szendy, Ghédalia Tazartès...).
Le premier album de la musicienne expérimentale Abigail Toll sur le label Shelter Press : une étude compositionnelle utilisant l'esthétique des données comme moyen d'un examen critique des mécanismes sociaux et politiques qui nous entourent.
Une enquête sur les notions disputées de copie, d'appropriation et de citation au sein de la pléthorique collection du Centre national des arts plastiques (également disponible en édition française).
Mässa (messe), pièce vertigineuse d'une durée de 7h30, associe une dizaine de compositions travaillées entre 1989 et 2004. À travers cette œuvre majeure, le compositeur hongro-suédois Ákos Rózmann (1939-2005) déploie des paysages sonores particulièrement denses, au fort pouvoir évocateur. Une invitation à l'introspection et à la méditation.
Le nouvel album de François Bonnet, plus vaporeux, immersif et évocateur que jamais, explore un large éventail de sources sonores et de techniques pour brouiller les codes musicaux et laisser place aux empreintes mémorielles.
Une exploration de l'écologie acoustique changeante des Hébrides Extérieures au large de l'Écosse, un monde sensoriel peuplé de fantômes : histoires de villages engloutis, de baleines échouées, de proches disparus, de chevaux noyés, de chants gaëliques et de voix messagères d'évènements intimes ou collectifs.
Thomas Bonvalet déploie tout l'instrumentarium de son projet L'ocelle mare (guitares, banjo, tambourins, piano, flûtes, mais aussi percussions corporelles, métronomes, interrupteurs, scotch de peintre, téléphone, microphones, table de mixage, amplis, etc.) pour créer une véritable poétique de l'objet, dévoilant la
matérialité des instruments en tant qu'objets en même temps que la musicalité des objets en tant qu'instruments.
Thomas Bonvalet déploie tout l'instrumentarium de son projet L'ocelle mare (guitares, banjo, tambourins, piano, flûtes, mais aussi percussions corporelles, métronomes, interrupteurs, scotch de peintre, téléphone, microphones, table de mixage, amplis, etc.) pour créer une véritable poétique de l'objet, dévoilant la
matérialité des instruments en tant qu'objets en même temps que la musicalité des objets en tant qu'instruments.
Le nouvel album de l'artiste expérimentale texanne Claire Rousay inaugure sa collaboration avec Shelter Press : deux pièces sensuelles et méditatives de 15 minutes, entrelaçant des samples, des enregistrements de terrain et les interventions instrumentales de Alex Cunningham (violon), Mari Maurice (électronique et violon), Marilu Donovan (harpe) et Theodore Cale Schafer (piano).
Construit à partir de strates de textures et de tonalités déconstruites et de percussions arythmiques, le nouvel album du duo condense six années de travail en neuf réinterprétations fragmentées et aériennes du minimalisme – toutes surprenantes, rigoureuses sur le plan créatif et d'une beauté saisissante –, aux confins de la pratique électroacoustique contemporaine et de la musique concrète.
La nouvelle œuvre solo pour sons concrets, électronique et instruments du musicien et compositeur australien : une pièce chatoyante et miroitante inspirée des jeux d'ombre et de lumière sur l'eau.
Une enquête sur les notions disputées de copie, d'appropriation et de citation au sein de la pléthorique collection du Centre national des arts plastiques, montrant comment les reproductions d'œuvres d'art peuvent être considérées comme des objets dotés d'une valeur culturelle spécifique et regardées au même titre que les originaux.
Un manifeste pour une possible musique à venir par le compositeur (sous l’alias Kassel Jaeger) et théoricien franco-suisse, directeur du Groupe de recherches musicales de l'Institut national de l'audiovisuel (INA GRM) et producteur à France Musique.
Le premier album solo de Kassel Jaeger (François J. Bonnet) sur Shelter Press, conçu comme un opéra abstrait, entre textures acoustiques et synthétiques – une œuvre immersive, intime et avant-gardiste, d'une beauté complexe.
Le nouvel album de la violoncelliste, compositrice et improvisatrice Okkyung Lee est peut-être son disque le plus aventureux, innovant et abouti à ce jour, mêlant élégamment compositions néoclassiques délicates et improvisation libre, mélodies à la simplicité apparente et complexité tonale et structurelle, influences traditionnelles coréennes et expérimentation d'avant-garde.
Le deuxième numéro de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, autour du concept de résonances, avec des contributions de Maryanne Amacher, Chris Corsano, Ellen Fullman, Christina Kubisch, Okkyung Lee, Pali Meursault, Jean-Luc Nancy, David Rosenboom, Tomoko Sauvage, The Caretaker, David Toop et Christian Zanési.
Le nouveau livre de la photographe française Estelle Hanania regroupe dix années de collaboration et de documentation autour du travail de la chorégraphe, metteur en scène et plasticienne Gisèle Vienne.
La première partie d'un roman en plusieurs épisodes : un texte inspiré de la forêt pétrifiée en Arizona,
sur la perception du temps et la manière dont certains lieux nous imprègnent.
Le nouvel album de l'artiste, musicienne expérimentale et poétesse française mêle avec grâce atmosphères intimistes, cut-up poétique, Satie, Ravel et Debussy, et invite Stephen O'Malley de SUNN O))) pour un final de 19 minutes.
Un livre imaginé par les artistes Yann Sérandour, Félicia Atkinson, Julien Bismuth et par la curatrice Sophie Kaplan, autour des questions de récit, d'écoute et d'improvisation.
Un livre imaginé par les artistes Yann Sérandour, Félicia Atkinson, Julien Bismuth et par la curatrice Sophie Kaplan, autour des questions de récit, d'écoute et d'improvisation.
Constituée de trois longues pièces acousmatiques inspirées par la nature et par des « états de conscience altérés », Voyage Sacrifice, le premier album du musicien français Maxime Primault (Black Zone Magick Chant) réalisé pour Shelter Press, laisse se déployer lentement une ambiance trouble mêlant drone, sons de cloches réverbérées et voix modifiées.
Le premier album solo, très beau, du prolifique musicien américain John Also Bennett mêle flûtes et électronique, entre minimalisme new-yorkais et musique ambient confortable, dans le meilleur sens du terme.
Premier numéro de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, Spectres – Composer l'écoute présente une série de textes de compositeurs français et étrangers (Félicia Atkinson, François Bayle, Brunhild Ferrari, Jim O'Rourke, Eliane Radigue, Chris Watson...) qui s'entretiennent sur l'importance de la dimension personnelle dans la pratique de l'expérimentation sonore et musicale.
Affinités des sols explore les croisements entre histoire (post-)coloniale et histoire des espèces végétales, en reliant les territoires d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, avec ceux de l'Afrique de l'Ouest (Mali et Sénégal). Cette édition et le projet artistique éponyme portés par Uriel Orlow retracent ces lignes de réseaux et de connexions via un ensemble d'images, cartes, textes et entretiens collectés pendant deux ans en France, au Sénégal et au Mali.
Le neuvième album solo du compositeur et percussionniste américain s'inspire de sa récente installation à Manhattan, où fut produit Stadium. S'appuyant sur des enregistrements de terrain réalisés en ville, il développe un récit sonore où s'insèrent percussions, claviers et instruments acoustiques. Ses parties de batterie et de percussions sont poussées ici vers de nouveaux sommets avec des arrangements de cordes et de cuivres fascinants, ciselant un jazz électro-acoustique à la fois rigoureux et foisonnant.
Pour son premier disque en 6 ans, Thomas Ankersmit rend hommage au compositeur hollandais Dick Raaijmakers, pionnier de la musique électronique et artiste multimédia décédé en 2013. Empruntant ses techniques de composition et d'enregistrement, Ankersmit a réalisé un album entièrement analogique qui s'inspire des recherches de Raaijmakers autour de l'holophonie… phénomène faisant entrer en résonnance l'oreille interne de l'auditeur.
Cet essai propose de penser la manière dont des êtres jusque-là privés des outils de la représentation se sont emparé des technologies de visualisation afin de produire des énoncés contestataires et solidaires. L'enjeu contextuel de ces hackings est la production de savoirs alternatifs et solidaires créés depuis les marges linguistiques, sexuelles, biologiques et géographiques de l'histoire.
L'album Struggle Artist du musicien électronique et artiste américain Justin Meyers dépeint l'incompatibilité d'une pratique artistique épanouie au sein d'une vie régie par les contraintes du néolibéralisme. Les sonorités mélancoliques des synthétiseurs ajoutent à la puissance narrative de compositions minutieusement structurées.
Cette publication de l'artiste français met en valeur son travail photographique sur la couleur à travers une série de 41 reproductions, accompagnée de textes de Claire Moulène et de Mick Peters.
Ce catalogue présente une série de vases que Matali Crasset a réalisée dans le cadre d'une résidence à la Manufacture de Sèvres. L'ouvrage se compose de 3 cahiers, imprimés sur 3 papiers differents, comprenant des polaroids des vases photographiés par Julien Carreyn, des dessins de la designer et un ensemble de documents divers.