fermeture annuelle : interruption des expéditions du 24 décembre (dernières expéditions le 23 au matin) au 4 janvier (les commandes passées dans l'intervalle seront traitées en priorité dès notre retour) – merci pour votre patience et bonnes fêtes !
Un récit polyphonique qui s'inscrit dans l'après-guerre coloniale en France, restituant la mémoire familiale en même temps que les recoins d'ombre de l'histoire officielle ou le silence des survivants pour soulever la chape de silence sous laquelle a été maintenue la guerre d'Algérie.
Yve-Alain Bois sur Manuel Borja-Villel au Musée Reina Sofía, Claire Bishop sur la saturation de l'information, Sung Tieu, Josh Kline, Aria Dean, Tarek Atoui...
Le 55e numéro de la revue annuelle de recherche en design prend pour thème central les objets créés par et pour l'organisation et la mobilisation des communautés.
Un ouvrage collectif et transdisciplinaire pour aborder la question des formes du vivant dans sa dimension tout à la fois scientifique, philosophique, artistique et esthétique, engageant une réflexion systématique sur notre rapport au vivant et à ses formes, et sur leur signification théorique et pratique au regard du monde actuel.
Enregistré au plus fort de la pandémie mondiale, à une époque où la communication à distance se répand, Choreological Exchanges s'inscrit dans les recherches continues de Hastings Of Malawi sur les canaux de communication eux-mêmes.
Avec une approche diaristique dans laquelle les enregistrements de terrain fonctionnent comme des vestiges d'un voyage initiatique au Maroc, souvenirs recontextualisés dans un ensemble onirique et expressionniste, le compositeur et artiste sonore portugais Mestre André (qui réactive son alias O Morto) élargit sa palette sonore vers des cartographies inexplorées.
Douze entretiens (Sarah Morris, Nathaniel Mary Quinn, Austin Eddy, Jameson Green, Sébastien Tellier & Xavier Veilhan, James Richards, Tursic & Mille...), une dizaine d'expositions et lieux en images (Genesis Belanger, Julia Scher, Robert Longo, le studio de Man Ray...), des textes et des projets spéciaux d'artistes (Sarah Morris, Pierre Charpin, Marina Faust sur le studio de Pierre Klossovski...), les critiques d'expositions et les chroniques, sur plus de 300 pages.
Le compositeur électroacoustique, musicien et artiste sonore suédois Mats Erlandsson crée un espace sonore imaginaire dans lequel un orchestre de chambre virtuel utilise des cithares, des bandes, une contrebasse, un harmonium, un orgue et divers synthétiseurs pour rédiger un traité sur l'accordage alternatif et les structures harmoniques non normatives.
Une enquête critique sur le patrimoine matériel et la construction des récits historiques des musées encyclopédiques occidentaux, abordant les questions de la colonisation et de la guerre, de la domination culturelle et de la réparation.
La photographe Adrienne Raquel explore l'expérience du night club en dressant un portrait intime de la communauté des strip-teaseuses du célèbre Club Onyx de Houston.
Monographie basée sur une série d'exposition internationales de l'artiste américaine autour des thèmes du commerce des travailleurs chinois et du trafic d'opium entre l'Angleterre et la Chine au XIXe siècle.
Soldes consacre son huitième numéro à la question du sens commun, avec Isabelle Stengers, Cynthia Fleury, BELL HOOKS, Marcel Mauss, Bernard Stiegler, Emanuele Coccia, Philippe Lardy...
Une célébration critique et prospective de l'institution muséale (avec William Pope.L, Simon Wu, Louise Lawler, Ben Davis, Ann Demeester, Anthony Hudek, Meschac Gaba, Bernadette Van-Huy, Ghislaine Leung, Estelle Hoy, Tea Hacic-Vlahovic, etc.).
La première collaboration enregistrée sur disque entre les deux artistes et musiciens américains, basée sur un procédé d'envois réciproques de sources sonores électroniques et acoustiques (sons de piano, de banjo, de synthétiseur, sons trouvés...), retravaillées successivement par chacun puis ensemble, donne lieu à une suite de pièces atmosphériques délicatement ciselées et merveilleusement évocatrices.
Les presses du réel – Philosophie / politique – Perceptions
Une approche pluridisciplinaire de la guerre par ses traces (donc depuis ses réalités en apparence les plus matérielles et les plus ordinaires), afin d'en rebattre les cartes.
Un texte de l'un des auteurs les plus inventifs de la nouvelle scène poétique, morcelé par le travail, la douleur, l'enfance et la perte, composé de trois séquences générant chacune leur handicap à exprimer l'économie comme aliénation de la vie.
Le second volet de la trilogie poétique de José Vicente Anaya, profondément porteuse des traces du mouvement infraréaliste, fondé à Mexico dans les années 1970, mêlant étroitement vers et prose, s'inscrit sous le signe d'une expérimentation formelle enracinée dans la vie du poète et de son errance du nord au sud du Mexique.
Rilke Shake – déclinaison humoristique du milkshake – convoque une partie de la bibliothèque de l'auteure (Mallarmé, Ezra Pond, Gertrude Stein, etc.) dans des scénettes poétiques tour à tour cocasses, burlesques, absurdes… À la fois triviale et érudite, cette poésie effrénée explose d'images de fêtes – et de lendemains de fêtes –, de flashs de la rue, et de rappels du Brésil.
Les peintures et sculptures réalisées par José Parlá à la suite d'une longue lutte contre le Covid qui a failli mettre un terme à sa carrière, marquant une nouvelle orientation de son travail.
Un parcours dans les archives photographiques d'une ancienne entreprise bananière américaine, documentant l'expansion du capitalisme d'entreprise dans les Caraïbes.
François Mangeol s'empare du roman Sérotonine de Michel Houellebecq et réduit le texte du romancier aux seuls symboles chimiques composant le neurotransmetteur lié à notre état de bonheur (livre d'artiste).
Le troisième album solo d'un pilier éminent de la scène ambient japonaise, après plus d'une décennie de collaborations : une série de pièces délicates et chaleureuses réalisées à partir d'enregistrements d'un piano droit mis au diapason dans la maison de la musicienne Mikiko Yamada, sa tante maternelle.
Le troisième album solo d'un pilier éminent de la scène ambient japonaise, après plus d'une décennie de collaborations : une série de pièces délicates et chaleureuses réalisées à partir d'enregistrements d'un piano droit mis au diapason dans la maison de la musicienne Mikiko Yamada, sa tante maternelle.
Le label Persistence of Sound célèbre le compositeur Richard Orton (1940-2013), pionnier de la musique électronique et électroacoustique au Royaume-Uni, avec une sélection de musiques électroacoustiques et de pièces composées à l'aide de l'ordinateur, couvrant l'ensemble de sa carrière.
Les images extraordinaires réalisées par Étienne-Jules Marey, inventeur entre autres de la chronophotographie, entre 1899 et 1901, à partir de ses expériences scientifiques sur les mouvements de l'air et les volutes de fumée, avec deux essais de Georges Didi-Huberman and Laurent Mannoni (version anglaise de l'ouvrage paru en 2004, épuisé).
Première monographie dédiée à la série d'images peintes, reconstituant le meilleur du jour, de Marie-Claire Mitout, œuvre d'une vie initiée en 1990 et qui comprend à ce jour plus d'un millier de peintures à la gouache sur papier.
Le premier titre de la Série d'Architecture Dongola, consacrée aux grands architectes contemporains du monde arabe, propose une immersion dans la pratique transdisciplinaire de l'architecte, artiste et anthropologue jordanien Ammar Khammash.
Le nouvel album de François Bonnet, plus vaporeux, immersif et évocateur que jamais, explore un large éventail de sources sonores et de techniques pour brouiller les codes musicaux et laisser place aux empreintes mémorielles.
La première monographie complète sur l'artiste roumain installé au Royaume-Uni Paul Neagu (1938-2004), dont l'œuvre transcende les disciplines artistiques et constitue une importante source d'inspiration pour les jeunes artistes, les commissaires d'exposition et les intellectuels.
Premier enregistrement de Dorothy Iannone : un ensemble de chansons et de poèmes provenant de sources diverses ainsi que d'œuvres originales de l'artiste, enregistrés en cascade de manière spontanée.
Deux pièces écrites par Éliane Radigue à la même période (2014-2018), l'une instrumentale (enregistrée à la Philharmonie de Paris par Ensemble Dedalus) et l'autre électronique (interprétée par Ryoko Akama).
Une pièce pour 16 canaux composée entre 2016 et 2020, inspirée par l'astrophysique, du mystère de l'ère pré-Big Bang et des mouvements troublants de l'inconscient, où l'étrange rencontre l'ordinaire (en hommage à Bernard Baschet, Bernard Parmegiani et Carlos Pellegrino).
Les sonorités concrètes et électroniques du Langham Research Centre (ensemble connu pour ses interprétations du répertoire de la musique expérimentale d'après-guerre avec des dispositifs « obsolètes ») se conjuguent avec les qualités acoustiques du saxophone de John Butcher dans une séance d'improvisation étendue.