Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Bündner Kunstmuseum Chur du 6 septembre au 23 novembre 2025.
Dans sa peinture, Noemi Pfister (née en 1991 dans les Grisons, Suisse) associe des motifs issus de l'histoire de l'art et de la culture populaire, jouant ainsi avec les références de la mémoire collective. Dans ses paysages oniriques s'attardent des personnages énigmatiques qui semblent provenir d'un monde parallèle. Leurs corps semblent anatomiquement déformés. Ils sont assis sur des skateboards ou font défiler leurs téléphones portables. Les mondes visuels rappellent parfois la composition d'œuvres de maîtres anciens, mais les vêtements des personnages, leurs postures ou leurs objets reflètent notre présent. En associant le familier et le sinistre, leurs images explorent les formes futures de communautés dans lesquelles nous pourrions vivre.
Dans sa peinture, Noemi Pfister (née en 1991 dans les Grisons, Suisse) associe des motifs issus de l'histoire de l'art et de la culture populaire, jouant ainsi avec les références de la mémoire collective. Dans ses paysages oniriques s'attardent des personnages énigmatiques qui semblent provenir d'un monde parallèle. Leurs corps semblent anatomiquement déformés. Ils sont assis sur des skateboards ou font défiler leurs téléphones portables. Les mondes visuels rappellent parfois la composition d'œuvres de maîtres anciens, mais les vêtements des personnages, leurs postures ou leurs objets reflètent notre présent. En associant le familier et le sinistre, leurs images explorent les formes futures de communautés dans lesquelles nous pourrions vivre.
Noemi Pfister est la co-fondatrice de l'espace d'art bâlois Palazzina.