Le 64e numéro du Jahresring – revue annuelle d'art contemporain allemande qui paraît sans interruption depuis plus de 60 ans –, édité par Wolfgang Tillmans.
Le 64e numéro du Jahresring – revue annuelle d'art contemporain allemande qui paraît sans interruption depuis plus de 60 ans –, édité par Wolfgang Tillmans.
Les enregistrements inédits qui auraient inspiré le mythique album de Manuel Göttsching, Inventions for Electric Guitar. Enregistrés entre 1972 et 1976 par M.A.L., alias Daniel Malempré, ces titres révolutionnaires ont été composés à l'aide d'une seule guitare Fender Stratocaster 1964, accompagnée d'une pédale wah-wah et d'un enregistreur cassette.
Un abécédaire avec lequel le pianiste, compositeur et improvisateur revient sur son expérience du son (avec la partition et l'enregistrement sur CD d'une pièce inédite).
Tonaliens étudie les possibilités présentes au sein du système musical de la gamme naturelle, explorant l'espace harmonique à l'aide de la voix (les techniques vocales de musique classique indienne d'Amelia Cuni), des cuivres, d'instruments inventés, d'ondes sinusoïdales et d'instruments électroniques. Ce disque réunit deux performances live de 2015 à Amsterdam et à Berlin. Avec des notes de pochettes du tuba Robin Hayward et des photographies documentant les performances.
Stridulations est le fruit d'une rencontre entre l'enregistrement et l'instrument, la composition et l'improvisation : field-recordings de communications animales en dialogue avec les sons produits par le champ électromagnétique de tubes fluorescents, manipulés à l'aide de variateurs électriques et filtrés par un dispositif sonore analogique.
Un long poème mythologico-érotique, charnel et sanglant, de Jean-Philippe Pernot, illustré d'une série de gravures au burin d'Hélène Damville, intitulée « danse macabre ».
Un regard réflexif sur les premières années du centre d'art contemporain NTU de Singapour, qui questionne sa position actuelle au sein des champs mondialisés de l'art et de l'économie du savoir, avec 80 contributions internationales et une vaste documentation sur les expositions.
Le livre Fragments, conçu par l'artiste libanais Rayyane Tabet comme une installation, associée à une performance, s'inspire d'une légende familiale, point de départ d'une enquête archéologique et géopolitique.
Réédition fac-similé et traduction française de la charte graphique conçue par le studio Danne & Blackburn pour la redéfinition de l'identité visuelle de l'agence spatiale américaine NASA en 1975.
Les presses du réel – Histoire de l'art – Hors-série
La biographie de la Princesse de Polignac (1865-1943), qui consacra sa fortune aux arts, aux sciences et aux lettres, et dont l'influence sur le monde musical et littéraire du XXe siècle est incommensurable. Mécène des Ballets Russes, de l'Opéra de Paris, de Boulanger, Haskil, Rubinstein, Horowitz, la passion de sa vie a été de commander des pièces originales à des compositeurs alors inconnus pour son salon parisien, où l'on croisait Proust, Cocteau, Monet, Diaghilev, Colette…
Numéro consacré aux dynamiques d'archivage : entretiens avec Ernesto Oroza, Simone Osthoff, Red conceptualismos del Sur, Manu Luksch, Daniel G. Andujar ; Anna Ramos présente la série de podcasts Memorabilia ; British Library's 140 years of recorded sound vs. Centuries of Sounds ; Rhizome's Net Art Anthology ; compte-rendus d'ISEA 2017 – « Biocreation and Peace », xCoAx 2017 à Lisbonne…
Ce numéro de plus de 250 pages étudie le corps, sous toutes ses formes : dossier consacré à George Henry Longly ; les anticorps dans l'institution artistique, par Mathieu Copeland ; entretiens avec Barbara Hammer, Lou Dallas, Manuel Solano ; Eleanor Antin à propos de Carving ; Ellen Blumenstein et Kate Cooper ; Ben Vickers en conversation avec Kenric McDowell sur l'humain et la machine ; un essai visuel de Marianna Simnett ; Donna Huanca en conversation avec Venus Lau ; ektor garcia ; 25 questions à Eric N. Mack… Inclus, le premier numéro du nouveau fanzine Clubbing, dédié à la culture club.
La vie et le parcours du multi-instrumentiste de jazz Eric Dolphy, passeur essentiel entre les mondes du be bop et du free jazz, partenaire de Charles Mingus, John Coltrane, Ornette Coleman (nouvelle édition revue et augmentée).
Deuxième volume de la trilogie Agitation frite : 43 entretiens avec les groupes, les musiciens et les acteurs (labels, free press, collectifs artistiques) de la scène musicale underground française historique et actuelle.
La bande originale de Remainder, le premier long métrage d'Omer Fast. Réalisée en collaboration avec Schneider TM, la composition est le résultat d'un processus d'improvisation et d'interaction entre le vidéaste et le musicien, le duo ayant travaillé à faire de la musique l'un des éléments essentiels du film.
Inexplicable hours ouvre d'un côté de nouvelles voies à base d'enregistrements de terrains, d'électronique statique et de pulsations distantes et continue de l'autre l'exploration du drone et de l'ambient mais de manière plus lumineuse, moins agressive, moins tendue, rappelant presque parfois la série Obscure de Brian Eno.
Timothy Morton tend un fil entre philosophie et écologie pour repenser, à partir du concept d'hyperobjets, notre manière d'aborder le « réchauffement planétaire ».
Quelque quatre mille polaroïds retraçant près de quinze années de la vie de l'artiste et ancien directeur de l'ECAL. Du New York artistique des années 1970 aux voyages en Amérique du Sud ou sur les rives du lac Léman, ce journal photographique révèle un portrait intime à forte charge érotique. Avec des textes de Hans Ulrich Obrist et Stéphanie Moisdon.
Cette publication questionne notre relation actuelle à l'avenir et étudie les stratégies et les moyens proposés par les artistes et les chercheurs d'aujourd'hui afin de façonner les nouveaux possibles. Elle comprend les contributions du personnel académique et des étudiants du centre cx pour les études interdisciplinaires de l'Académie des Beaux-Arts de Munich.
Recueil d'essais confrontant les points de vue entre auteurs et artistes, technologues, théoriciens et cinéastes sur la fiction et ses différentes manifestations. L'ouvrage explore les façons dont les fictions prolifèrent, s'incarnent et agissent sur le monde.
L'artiste Oraib Toukan présente un panorama informel de l'architecture moderniste palestinienne – un assemblage d'images et d'histoires recueillies entre 2013 et 2015 dans les villes de Naplouse, Ramallah, Jérusalem, Bethléem et Jéricho.
Premier catalogue consacré aux travaux du groupe militant Art+Positive, camarade de luttes d'ACT UP New York durant les premières années de l'épidémie du VIH. Apôtre de l'activisme spontané, Art+Positive dénonce le silence du monde de l'art vis-à-vis du sida, ainsi que la censure, l'homophobie, la misogynie et le racisme qui y règne à la fin des années 1980. Des archives inédites forment le socle de cette publication, accompagnées d'essais originaux et d'écrits de l'époque.
Dans cet essai, Peter G. Rowe offre une description d'ensemble des transformations générées par les nouvelles technologies dans le domaine de la conception architecturale, abordant des questions telles que la précision et l'incomplétude de l'information, la théorie des schémas et l'heuristique.
Cette publication fait revivre l'art oublié de l'aménagement de vitrines à travers un portrait artistique et intime du décorateur étalagiste Bob Steffen.
Joseph Kosuth poursuit son investigation sur les interactions entre langage et réalité, mots et objets, couleur et lumière avec cette publication, à mi-chemin entre livre d'artiste et catalogue, présentant les premières installations de néons de l'artiste américain, associées à celles d'artistes issus de l'Arte Povera, Pier Paolo Calzolari, Mario Merz et Emilio Prini.
Cette publication présente les résultats d'un projet au long cours de Romana Schmalisch intitulé le Mobile Cinema, un appareil itinérant à mi-chemin entre une maquette d'architecture, un cinéma ambulant et une chambre noire. L'artiste a construit elle-même cet objet et l'utilise pour diffuser des films créés au cours de ses voyages, mobilisant des extraits de films et d'archives.
Le troisième numéro du cahier érotique annuel comprend un carnet central de contributions visuelles et huit livrets de textes de dimensions variables, le tout ceint d'un ruban (avec Étienne Chambaud & Alexandre Guirkinger, Phoebe Clarke, Claire Dantzer, Mimosa Échard, Muriel Joya, Élodie Lesourd, Victor Man, Anthony Pearson, Benoit Platéus, Axelle Remeaud, Muriel Rodolosse, Nicolas Silberfaden, Georges Tony Stoll, Matthew Stone, Lucien Suel, Yves Trémorin, Phillip Zach...).
Une anthologie des textes écrits par Obrist pour le supplément du journal suisse Tages-Anzeiger : une cartographie de l'art contemporain et du monde de la culture dans les années 2010, rédigée sous la forme d'un journal intime.
Le manifeste Merz de Kurt Schwitters, AMM vu par David Grubbs, la discographie de Daunik Lazro commentée par Luc Bouquet et… Daunik Lazro, les interviews d'Anna Tjan du label Dancing Wayang et de Dave Phillips, sur l'air de Lonely Woman d'Ornette Coleman. Et puis une soixantaine de chroniques de disques et de livres.
Trio improvisé avec Jean-Marc Foussat, ingénieur du son et synthétiseur, et Christian et Quentin Rollet, père et fils (batterie, saxes). Musique libre avec une grande dynamique et des espaces acoustiques et électroniques sauvages.
Un autoportrait (le recueil des entretiens, correspondances et déclarations de Robert Breer sur une cinquantaine d'années, autour de ses films et de ses multiples incursions dans la peinture, le dessin et la sculpture cinétique).
Le premier album solo de Jérôme Noetinger (magnétophone Revox B77, micros, radios, objets, synthétiseur analogique Korg MS20, cadre à piano) : un panorama de sa pratique sur le magnétophone à bandes.
Monographie de référence, abondamment illustrée, avec une préface de Philippe Dagen et une longue analyse par Xavier-Gilles Néret de l'œuvre de Daisuke Ichiba (à partir d'entretiens inédits avec l'artiste), replacée dans le double contexte où elle a émergé, les scènes underground graphiques japonaise et française.
Une énergie électrique avec une rage lyrique et free dans des liens électroacoustiques où les images sonores sont multiples et posent le cadre pour une voix claire et puissante. 16 morceaux comme autant d'actions sonores et poétiques chacune marquée par une couleur, un propos, une image, une rencontre.