Le nouvel opus dans la collection « Mind Travels » constitue
une symbiose pleinement accomplie entre les tonalités industrielles et expérimentales propres à Geins't Naït et les mélodies célestes de Laurent Petitgand, qui affinent et polissent leurs sons pour construire
un récit fascinant, poétique et mélancolique.
Le nouvel opus dans la collection « Mind Travels » constitue
une symbiose pleinement accomplie entre les tonalités industrielles et expérimentales propres à Geins't Naït et les mélodies célestes de Laurent Petitgand, qui affinent et polissent leurs sons pour construire
un récit fascinant, poétique et mélancolique.
Versions stéréophoniques à partir des enregistrements et mixages des quatre installations sonores réalisées in situ entre 2005 et 2016 (avec Jean-Luc Guionnet, Arnau Horta, Seijiro Murayama et Michaële-Andréa Schatt).
Chacun des récits qui forment l'ensemble Manière noir a pour point de départ une locution qu'il s'agit de prendre au pied de la lettre, dans son sens littéral. L'écriture en développe alors les potentialités poétiques et imaginaires, suivant un cours aussi hasardeux que fatal.
Une sélection d'environ 60 photographies peu connues signées par l'artiste français Jean Chauvin (1889-1976), l'un des pionniers de la sculpture abstraite du début du XXe siècle.
Premier numéro de la revue critique d'architecture publiée par Cosa Mentale, dans lequel les voix de l'agence d'architecture Bruther et de Laurent Stalder, professeur en Histoire de l'architecture à L'ETH, se confrontent autour du thème de l'« hyperconfort ».
Une pièce composée par Phill Niblock, interprétée live par l'Ensemble IRE trio : Kasper T. Toeplitz (basse), Franck Vigroux (guitare), Hélène Breschand (harpe électronique) en face A / une pièce composée et interprétée par Kasper T.Toeplitz (basse) et Franck Vigroux (guitare, électronique) en face B.
Denis Lavant lit / dit le poème Vents de Saint-John Perse (1946), accompagné par Quentin Rollet (saxophones) et Patrick Müller (electrosonic). Avec la participation de Romain Perrot (guitare).
Première édition monographique de Stéphane Vigny, pensée comme un objet à plusieurs entrées de lecture (la musique, l'architecture, le design, le cinéma ou encore l'érotisme), tout comme le sont les sculptures de l'artiste (avec des textes de Jean-Michel Espitallier, Charles Pennequin et un entretien).
Une vaste réflexion collective sur l'héritage philosophique, les résonances actuelles et l'articulation historique de Mai 68 et du Printemps de Prague (contributions de Jacques Rancière, Étienne Balibar, Michael Hauser...).
Les presses du réel – Littérature – L'écart absolu
Ce volume s'attache à l'ensemble des activités d'Emmanuel Hocquard, afin de faire valoir son importance, et de le situer dans une histoire de la poésie contemporaine dont il fut l'un des principaux acteurs.
La synthèse de la vaste enquête scientifico-poétique menée par Julien Blaine depuis plus de 20 ans
pour retrouver la trace, l'empreinte, d'une langue originelle et élémentaire qui remonterait aux racines du verbe, hors de toute révélation divine, permettant d'éclairer 58 ans d'activités poétiques.
Ce livre rassemble les textes (inédits ou aujourd'hui introuvables) conçus comme partitions des publications orales de Michèle Métail, figure essentielle de la poésie action, depuis 1973.
Ce livre rassemble les textes (inédits ou aujourd'hui introuvables) conçus comme partitions des publications orales de Michèle Métail, figure essentielle de la poésie action, depuis 1973. L'édition de tête, numérotée de 1 à 20, contient un collage signé.
Un vaste panorama des recherches plastiques menées par Thomas Canto ces dix dernières années, entre dessin géométrique, sculpture et architecture, avec de nombreux textes de spécialistes et une série de conversations entre l'artiste et Carlos Cruz-Diez, Michael Scott et Xavier Veilhan.
Un village, des habitants, neuf personnages, des enfants, une forêt. Trois saisons : l'hiver, le confinement et le printemps. Bruissons est le récit d'un voyage immobile légèrement perturbé. Une exposition – des images, du sonore. Et un livre.
La chronique d'une sidération, écrite au jour le jour depuis le début du confinement pour en saisir les formes et conséquences, accompagnée d'une contribution textuelle de Julien Coupat et alii.
Six films autour de six expositions de Cécile Bart, plus proches de l'esthétique du film d'artiste que du documentaire, qui introduisent le spectateur dans la proximité des œuvres.
Charles Pennequin est un poète hors-cadre qui nous conte ici la sidérale agression d'un Martien qui n'a pas encore coupé le cordon. Sur le CD que renferme le livre, il interprète trois fois son texte : deux fois en compagnie du guitariste Jean-François Pauvros, et une autre fois seul, mais au mégaphone.
Le catalogue de l'exposition évolutive de Stéphane Blanquet dans l'ensemble des espaces de la Halle Saint-Pierre : une vaste rétrospective en
1,9 kg d'images (dessins, photographies, tapisseries, sculptures), avec également les œuvres d'artistes invités : Keiichi Tanaami, Bruno Richard, Samplerman, Jan Švankmajer, Dr Karayom, etc.
Sans Grace est le livre de deux comédiennes, l'une de Genève, l'autre basée à Paris. Il reprend les premiers exercices d'improvisation qu'elles ont menés avant de concevoir le diptyque scénique Sans Grace/Avec Grace, en tournée en Suisse et en Belgique.
La figure est l'interface où la forme et le sens se rencontrent et communiquent, thème que ce livre de l'architecte Dominique Putz propose d'explorer. C'est dans cette optique que cette recherche aborde le décryptage de la forme des bâtiments, des villes et des paysages (nouvelle édition).
Quentin Rollet pose son mini-synthétiseur à bandes et ses saxophones sur des pistes de batterie enregistrées par Kim Giani en 2015, c'est-à-dire dans le monde d'avant le confinement. Un projet plein d'humour et porteur d'énergie, réalisé dans une période d'ennui planétaire.
Les presses du réel – Art contemporain – Monographies
Un projet d'ampleur mené avec vingt artistes et chercheurs internationaux autour de Fordlândia – ville construite à partir de 1928 par Henry Ford en Amazonie afin d'exploiter intensivement l'hévéa nécessaire à la fabrication des pneumatiques, devenu un petit village au milieu d'un patrimoine industriel au statut incertain –, interrogeant l'échec et les conséquences du projet moderne occidental et colonial du fordisme dans le contexte politique, économique et environnemental actuel.
Le nouveau « Biennale-Bouquin » (BB) de Julien Blaine, recueil
de poésies lyriques et épiques, d'expérimentations visuelles et typographiques,
de traductions de gravures préhistoriques, de témoignages sur des performances et déclarations, de carnets de voyages, etc.
En 2020, Julien Blaine, né en 1942, dresse l'inventaire (et fait don) de ce qui reste dans un atelier d'artiste à la fin d'une vie de création.
Le grand dépotoir rassemble essais, lettres et réflexions sur sa vaste entreprise poétique depuis ses débuts, constituant une mise en perspective aussi bien qu'une introduction complète à sa démarche sacrilège.
Marco Boubille fait parler les images de Photomaton qu'il ramasse dans les rues et collectionne, dans un long poème sériel sur le désordre des choses et l'ordre de la vie.
Ce carnet de dessins de l'artiste marseillaise Dominique Cerf ouvre sur un texte introductif de Liliane Giraudon, et s'achève par un manifeste féministe de l'artiste.
Fragments de la poésie totale et photo-poèmes du poète, performeur et artiste franco-chinois, figure emblématique de la résistance artistique et culturelle chinoise. L'édition de tête réunit les deux volumes (Épisode 1 et 2), numérotés de 1 à 20, avec une œuvre originale signée insérée dans chacun d'eux, constituant un dyptique.
Le reste c'est la suite sonde notre présent pour remonter vers le ou les moments de rupture d'une séquence – franchissements, seuils, points de bascule – comme on le fait à la suite d'une expérience traumatique. Avec, pour fils rouges, l'avènement de « l'urgence climatique », la sidération des attentats survenus en France en 2015-2016, et, en ligne de mire, d'une révolution massacrée à l'explosion de la violence « dans un pays en paix », la Syrie, comme un miroir tendu.
Le film de Gilles Coudert, raconté par Charles Berling, met en scène le dialogue entre l'art contemporain et le patrimoine au sein du Domaine de Chaumont-sur-Loire, Centre d'Arts et de Nature, regroupant le château et son parc de sculptures contemporaines.
Le premier album solo de Kassel Jaeger (François J. Bonnet) sur Shelter Press, conçu comme un opéra abstrait, entre textures acoustiques et synthétiques – une œuvre immersive, intime et avant-gardiste, d'une beauté complexe.
Première monographie consacrée au Musée des erreurs de Pierre
Leguillon : une exposition itinérante composée d'artefacts visuels
issus de la culture de masse et de l'artisanat, interrogeant avec humour
et subversion les mécanismes de la société de l'image.
Patrice Carré est un sculpteur et un amateur de musique dont l'œuvre s'élabore dans un mélange de liberté et de contrainte propre à la musique (que ses sculptures et « aménagements » associent ou non une dimension sonore). Cette monographie retrace le développement, depuis les années 1980, d'un travail à la tonalité poétique singulière.