Un livre-portrait illustré de Laurent Le Deunff, composé d'une série d'entretiens de l'artiste avec diverses personnalités, artistes, cinéaste, philosophe et critiques d'art.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
Le catalogue de l'exposition évolutive de Stéphane Blanquet dans l'ensemble des espaces de la Halle Saint-Pierre : une vaste rétrospective en
1,9 kg d'images (dessins, photographies, tapisseries, sculptures), avec également les œuvres d'artistes invités : Keiichi Tanaami, Bruno Richard, Samplerman, Jan Švankmajer, Dr Karayom, etc.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an.
Le numéro un rassemble 12 dessins grand format de Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
Bande dessinée délirante de Costes sur le coronavirus et le confinement. Deux dessins originaux en couleur de Costes collés dans le livre, signé et numéroté par l'auteur.
Une sélection de peintures érotiques de l'artiste américaine, réalisées
entre 1969 et 1971 : une célébration sans filtres de l'acte sexuel
extatique et de la jouissance orgasmique, sujets auxquels l'artiste
confère une dimension quasi mystique.
Une sélection de dessins de l'artiste « outsider »
néo-zélandaise, dont l'œuvre, reconnue tardivement, nous plonge dans un
univers grotesque et parfois sombre, où se mêlent animaux, humains aux
corps distordus et personnages de cartoons.
Cette publication rassemble une sélection de photos
de famille prises entre les années 1930 et 1950 par la photographe amateur
Anne-Marie von Wolff. Une œuvre fascinante, extraordinaire et puissante, révélée au grand jour par son
arrière petite-nièce, l'artiste Mimi von Moos.
Une série d'illustrations mettant en scène des automobiles
au sein d'un monde post-apocalyptique inspiré par l'esthétique
dystopique des années 1980-1990.
Le nouveau carnet fac-similé de Blanquet : 54 dessins fantastiques, fantasmagoriques autant que fantasmatiques à l'encre rouge mêlée de vert, réalisés dans les trains.
Le nouveau numéro du journal d'images king size de United Dead Artists, avec Boris Pramatarov, Stéphanie Sautenet, Sandra Ghosn, Ana Prr Prr & Nils Bertho, Reinhard Scheibner, Keiichi Tanaami, Jessica Rispal, Chloé Poizat, Marine Perraudin, Zélie Doffémont, Damien Deroubaix.
Première monographie d'envergure consacrée à l'« Icare de Lautertal », figure importante de l'art brut, l'inventeur de machines volantes Gustav Mesmer. Cette publication revient sur son parcours et son œuvre à travers trois essais en français ainsi que 400 illustrations en couleur (reproductions des œuvres sur papier et des manuscrits, photographies des machines, sculptures et instruments).
Numéro spécial présentant un ensemble de gravures taillées dans la mousse. Réalisé en collaboration avec l'atelier animé par l'illustrateur Valfret, un habitué des pages de La Tranchée Racine.
La monographie la plus importante à ce jour sur le travail de Stéphane Blanquet : conçu par l'artiste, l'ouvrage, particulièrement luxueux avec ses pages en papier métallisé, présente des œuvres récentes créées pour son exposition à l'Abbaye d'Auberive, mais également une rétrospective de ses travaux plus anciens. Dessins, terres cuites, tapisseries, lithographies, photographies… Cette publication nous entraîne au cœur de son univers érotico-cauchemardesque.
Les presses du réel – Histoire de l'art – Hors-série
Kunsthalle Marcel Duchamp
Première publication consacrée à l'œuvre musicale méconnue du peintre américain Louis Michel Eilshemius, « découvert » par Marcel Duchamp. Entre tradition romantique et audace futuriste, ces créations sonores préfigurant l'usage du sample sont interprétées avec brio par le jeune pianiste Imke Lichtwark dans le CD accompagnant cet ouvrage, qui comprend des textes de Roberto Ohrt, de Sven Daigger, de Stefan Banz et d'Eilshemius lui-même.
Un panorama des collections d'art d'Amérique latine au sein des galeries et institutions de Californie du Sud, de l'art précolombien aux œuvres les plus contemporaines en passant par l'art populaire chicano.
Mini-carnet fac-similé de 50 dessins fantastiques, fantasmagoriques autant que fantasmatiques à l'encre rouge mêlée de bleu, réalisés dans les bus, les trains ou ailleurs.
Publication regroupant les splendides dessins de l'artiste franco-suédoise Rebecka Tollens. Réalisées à la mine de plomb, ces œuvres inspirées des rêves de l'artiste sont imprégnées d'une atmosphère trouble, entremêlant les thèmes de la mystique nordique, de la sororité et de l'enfance. L'ouvrage met en avant une série consacrée aux Samis, peuple autochtone du Grand Nord.
Amandine Urruty est de retour avec une ébouriffante collection de dessins, fruit de deux longues années de travail. Fascinante immersion dans un univers baroque et singulier, The Party – à l'instar du film éponyme de Blake Edwards – nous entraîne dans une invraisemblable bacchanale, orchestrée par une surdouée du crayon.
Monographie de référence, abondamment illustrée, avec une préface de Philippe Dagen et une longue analyse par Xavier-Gilles Néret de l'œuvre de Daisuke Ichiba (à partir d'entretiens inédits avec l'artiste), replacée dans le double contexte où elle a émergé, les scènes underground graphiques japonaise et française.
Après le très acclamé opus Nova Sodomia (Une indécence française), S.E. Otto revient avec ce livre grand format (A3) intitulé Colossale finesse (La Finesse Colossale – Les femmes de Cocagne). Otto rend ici un hommage retentissant à tout ce qui est charnel, ample, en un mot : à l'abondance.
Un conte qui s'inspire très librement des travaux de l'astrophysicien Aurélien Barrau sur les Multivers et de l'œuvre de Lovecraft. Le livre mêle ainsi l'astrophysique et la littérature fantastique, à travers l'écriture d'une fiction qui déconstruit les cadres de la narration, de la logique, de l'identité, de l'espace et du temps. Illustré par Andréas Marchal, d'après les travaux de Barrau.
Une nouvelle série de dessins de l'illustrateur américain, mettant en scène ses personnages au sein d'un univers narratif proche du codex post-colombien, entre mythe et vie quotidienne. Il y reflète ses influences, de la culture pop des années 1980 à l'art moderne et au graphisme.