Le quatrième album de Winter Family, magnifique et obsédant, raconte beaucoup d'histoires : celle des musiciens eux-mêmes et de leurs proches, celles de vies à Jérusalem, à Paris ou en Lorraine ; celle des femmes, des « sorcières », des mythes conspirationnistes ; celle de l'Europe capitaliste et colonialiste ; celle de l'aveuglement et de la violence de la société israélienne et de l'endoctrinement de sa population ; celle de l'occupation de la Palestine ; celle du confinement éternel et d'un rat de laboratoire...
Le quatrième album de Winter Family, magnifique et obsédant, raconte beaucoup d'histoires : celle des musiciens eux-mêmes et de leurs proches, celles de vies à Jérusalem, à Paris ou en Lorraine ; celle des femmes, des « sorcières », des mythes conspirationnistes ; celle de l'Europe capitaliste et colonialiste ; celle de l'aveuglement et de la violence de la société israélienne et de l'endoctrinement de sa population ; celle de l'occupation de la Palestine ; celle du confinement éternel et d'un rat de laboratoire...
Un recueil d'écrits de premier plan du compositeur et mathématicien Spencer Gerhardt, examinant notamment les relations fertiles entre l'esthétique musicale minimaliste et les mathématiques intuitionnistes.
Une œuvre majeure dans la discographie de Klara Lewis qui rend un hommage vibrant à son ami et mentor Peter Rehberg, et qui s'inscrit pleinement dans l'esprit original du label Mego dont il est le fondateur.
Making Conversation documente une facette inédite du travail de l'artiste sonore canadienne, en présentant trois pièces de commande rigoureusement conceptualisées, chacune d'entre elles élargissant son approche caractéristique des micro-sons fortement amplifiés dans de nouvelles directions.
Le deuxième album de la clarinettiste basse viennoise Susanna Gartmayer et du musicien et producteur de Düsseldorf Stefan Schneider (Mapstation), enregistré sur une période de deux ans dans différents lieux, transcende toujours plus les oppositions entre jeu live et programmation, composition et improvisation, analogique et numérique, etc.
Les presses du réel – Histoire de l'art – Hors-série
Une anthologie du courant constructiviste, rassemblant des écrits d'artistes et de théoriciens nouvellement traduits ou inédits, accompagnés de nombreuses illustrations et d'un important appareil critique : ce volume de référence éclaire sous un jour nouveau la multiplicité et la diversité des démarches du constructivisme puis du productivisme dans les années 1920-30 (dans les champs de l'art, du design, de l'architecture, mais aussi de la danse, du cinéma, de la musique, de la littérature, etc.) et constitue une contribution majeure à l'étude des avant-gardes soviétiques.
Les presses du réel – Musique & arts sonores – Hors-série
Résonner, réverbérer, paysager, cartographier, retentir : une réflexion philosophique sur le lieu du son, de l'esthétique musicale à l'habitat sonore, au croisement des études du son, de la musique et de la technique, et de la phénoménologie.
Carte blanche visuelle à Kiki Jones ; poésie arabe contemporaine : Fady Joudah ; Mica Levi ; Pascale Ciapp ; Kasper T. Toeplitz ; Graham Lambkin ; Risaripa ; Steve Albini ; David Grubbs ; DASDAS ; les chroniques de livres et de disques...
Zane Cerpina (coéditrice du numéro) ; entretiens avec Boris Eldagsen, Martinus Suijkerbuijk, Maya Man, Molly Soda ; Transmediale 2024 ; REBOOT: Pioneering Digital Art...
16 artistes sonores et musiciens internationaux explorent la matérialité, la spatialité, la technicité et les diverses formes culturelles, sociales et politiques du son, questionnant les relations entre l'improvisation et la composition, la performance et l'installation, etc.
Une pièce de musique concrète divisée en cinq mouvements, basée sur le traitement et l'édition d'enregistrements captés sous des chapiteaux de cirques entre 1988 et 1993, rires d'enfants, applaudissements, roulements de tambour et interludes musicaux nous rappelant, selon les mots d'Éliane Radigue, « la magie de l'enfance toujours présente au cœur de l'homme au-delà même de son abrupte fin ».
Une chanson peut-elle se passer de musique ? C'est là une des questions que posent ces treize « songes égaux » où, partout, rôde une mélodie. Et quand ce n'est pas leur auteur, Claude-Marin Herbert, qui tente lui-même de les mettre en musique, c'est l'ONCEIM (Orchestre de Nouvelles Créations, Expérimentations et Improvisations Musicales) qui, ici, leur donne de grands airs.
Consacré au Mont Athos en Grèce orientale, le sixième projet de FLEE invite artistes et chercheurs à explorer et démystifier la tradition musicale de ce haut lieu de l'Orthodoxie.
Un album enregistré en divers endroits du globe avec lequel la compositrice et artiste sonore canadienne explore la manière dont la mécanique quantique détermine la perception du son.
Nouvelle version remasterisée par Lawrence English de la pièce enregistrée par Akio Suzuki en 1994 à Berlin, une exploration du son, de l'espace et du temps à l'aide d'objets trouvés et de flûtes, une introduction idéale à l'œuvre de l'artiste sonore japonais.
Réédition du premier album du compositeur et concepteur sonore Joseph Kamaru, figure de la scène expérimentale de Nairobi, paru sur le label Editions Mego en 2020 : un mélange subtil d'enregistrements de terrain et d'électronique qui déploient sereinement des paysages sonores oniriques, créant une nouvelle forme hybride de musique ambient, captivante par sa profondeur spectrale et ses motifs kaléidoscopiques.
Réédition du premier album du compositeur et concepteur sonore Joseph Kamaru, figure de la scène expérimentale de Nairobi, paru sur le label Editions Mego en 2020 : un mélange subtil d'enregistrements de terrain et d'électronique qui déploient sereinement des paysages sonores oniriques, créant une nouvelle forme hybride de musique ambient, captivante par sa profondeur spectrale et ses motifs kaléidoscopiques.
Le tout premier album solo de Laetitia Sonami, pionnière de la musique électronique : une pièce composée spécifiquement pour elle et pour son instrument / interface, le Spring Sprye, par son ancienne professeure Éliane Radigue.
La première réédition en vinyle de l'album de David Rosenboom sorti à l'origine sur l'éphémère label de Détroit Street Records en 1981, présenté ici dans une édition augmentée avec un disque supplémentaire rassemblant des pièces inédites enregistrées live et en studio pendant la même période.
Deux ans après Impressões de Outra Ilha, le chef de file du label Discrepant revient avec un double album bien nommé Exotic Immensity, conçu à la suite de l'exposition de dioramas éponyme au Bon Accueil à Rennes, proposant un voyage tentaculaire et épique à travers un paysage tropical et insolite.
Une nouvelle œuvre de psychédélisme transglobal par la formation de musiciens globe-trotters lisboètes, ici augmentée de nombreux collaborateurs invités.
Poursuivant sa fructueuse relation avec le label Discrepant, le pianiste portugais Tiago Sousa présente deux longues pièces minimalistes et extatiques pour orgue.
Pour son retour sur le label Discrepant, Sun Araw utilise hydrophones et synthèse numérique pour tisser une toile sonore impressionniste, à la fois déroutante et étrangement engageante.
Le musicien expérimental et inventeur d'intruments indonésien Wukir Suryadi élargit encore les frontières de son univers artistique singulier avec une suite d'improvisations méditatives à la guitare Cetta, un instrument en bois fabriqué à Bali pour les communautés locales de musiciens folkloriques et populaires, explorant les différentes caractéristiques sonores d'un instrument « ordinaire ».
Six pièces denses chatoyantes, constituant l'une des œuvres les plus ambitieuses sur le plan créatif et les plus riches sur le plan conceptuel à ce jour de la guitariste expérimentale italienne, librement inspirées de la vie et de l'œuvre du réalisateur russe Andreï Tarkovski et de la musique de Jean-Sébastien Bach.
Une performance de Jérôme Lorichon (Buchla, électronique), Thierry Müller (guitare électrique, iPad) et Quentin Rollet (saxophones), enregistrée en public le 5 mai 2016 au Détail, Paris.
Une aventure sonore, où le collectif de musiciens Coax fusionne avec l'esprit vibrant du Groupe d'Entraide Mutuelle de Montreuil, une structure de pair-aidance en santé mentale surnommée « Les gens du 110 ». Le bouillonnant attelage hétéroclite explore des territoires sonores inédits, inspirés par une série d'ateliers au GEM, au milieu des sculptures, des fresques, des brics et des brocs, des cris et des rires...
Le collectif La Belle Brute poursuit son travail d'édition des archives de l'artiste « brut » Jean-Marie Massou avec ses « romans », une série de fictions sonores créées au cours des deux dernières décennies de sa vie, des récits saisissants accompagnés de bruitages, de musiques et de sons d'ambiance.
Jean-Christophe Thomas analyse le catalogue complet de François Bayle en 52 caractéristiques récurrentes, organisées en thématiques, développées à l'écrit et illustrées de 151 exemples (livre augmenté, avec les exemples sonores en téléchargement).
Un travail de théâtre vocal et radiophonique qui a été au centre de l'activité de l'artiste sonore et compositeur Alessandro Bosetti de 2019 à 2022 : une famille de portraits de voix, un enchevêtrement de sons et d'affections, suspendu entre polyphonie de la Renaissance et vacarme familial, en collaboration avec l'Ensemble Neue Vocalsolisten de Stuttgart.
Une pièce basée sur l'installation éponyme créée en 2006 par l'artiste Sandrine Nicoletta en collaboration avec le musicien et artiste sonore Massimo Carozzi, pour laquelle cinq chanteurs de tessitures différentes, enregistrés individuellement dans plusieurs lieux et à plusieurs moments, réagissent à la voix des autres dans des situations déterminées.
Quatre pièces solo pour voix et électronique de Jason Kahn (voix, synthétiseur modulaire, table de mixage, transducteurs électromagnétiques, radio, chambre de réverbération à ressort).
Most, but Potentially All est un album composé par Jim O'Rourke et basé sur les textures originales de la trompette de son collaborateur de longue date Eivind Lønning, enregistrées dans la maison d'O'Rourke et Eiko Ishibashi dans les montagnes japonaises : un voyage profond et captivant dans l'éther.
Un album de « musique ancienne électro-acoustique rituelle » de la formation bruxelloise Razen que Stefan Schneider, producteur du disque, décrit comme « la rencontre de Suicide et de Hildegard von Bingen ».
Une œuvre sonore conçue par Cesare Pietroiust, dans le cadre de ses recherches sur les micro-événements et les accidents du quotidien,
comme une épopée de la chute, vécue, subie et observée par l'artiste lui-même.