Un ensemble de textes d'Eisenstein qui permet de définir une méthodologie de l'analyse de l'œuvre d'art, dans ses rapports au cinéma et dans le cadre d'une esthétique générale envisagée au croisement de la sémiologie et de l'anthropologie (nouvelle édition revue et augmentée).
Une analyse des pratiques artistiques contemporaines nomades en Estonie, en Lettonie et en Lituanie, et des phénomènes de précarité, de sentiment d'appartenance et de présence dans le travail des artistes baltes, dans le contexte de l'évolution des réseaux mondiaux.
Cette monographie explore les éléments visuels, autobiographiques et théoriques qui sous-tendent la pratique du peintre letton Ēriks Apaļais, avec deux essais.
Un regard kaléidoscopique sur le monde du cirque traditionnel de Riga (une vaste série de photographies élaborée sur quatre années par l'artiste d'origine lettone).
Les enregistrements des voix des morts issus des archives du parapsychologue letton Konstantin Raudive (1909-1974) et de Gerhard Stempnik (musicien membre de l'Orchestre philharmonique de Berlin et ami de Raudive), accompagnés de réinterprétations inédites.
Différents artistes, auteurs et curateurs réfléchissent sur la notion d'activisme dans l'art, à partir d'un manifeste du philosophe letton Andrejs Kurcijs rédigé en 1923.
Un projet hollywoodien inachevé d'Eisenstein qui ouvre vers un dépassement possible du cinéma, inspiré par la déconstruction moderne des architectures traditionnelles et des idéologies qui y sont liées.
Cet ouvrage collectif explore la notion d'anthropologie du rythme au sein de Que viva Mexico! de Sergei Eisenstein, tout en étendant son analyse à d'autres projets inachevés du cinéaste russe, tels Le Pré de Béjine et Le Grand canal de Fergana. La publication s'appuie sur un ensemble d'archives, dont des dessins et des journaux de travail inédits, ainsi que des séquences de films.