Un village, des habitants, neuf personnages, des enfants, une forêt. Trois saisons : l'hiver, le confinement et le printemps. Bruissons est le récit d'un voyage immobile légèrement perturbé. Une exposition – des images, du sonore. Et un livre.
Une œuvre composée par Andrea Tippel pendant une quinzaine d'années, entièrement constituée de mots de trois lettres (deux CD dans un boîtier digipak à six volets au format DVD, avec un texte biographique, une chronologie et un texte inédit de Dorothy Iannone).
Six films autour de six expositions de Cécile Bart, plus proches de l'esthétique du film d'artiste que du documentaire, qui introduisent le spectateur dans la proximité des œuvres.
Livre d'artiste : un libretto grand format pour cinq chanteurs, publié à l'occasion du concert de Hassan Khan à l'Albertinum, Collections nationales de Dresde, en décembre 2019, sur le thème du tragique individuel et collectif et de l'effondrement.
La photographe Giovanna Silva explore le patrimoine architectural des Philippines, illustrant les relations entre l'architecture, l'histoire et les exubérances d'un pouvoir longtemps marqué par la corruption et le népotisme.
Le catalogue de l'exposition évolutive de Stéphane Blanquet dans l'ensemble des espaces de la Halle Saint-Pierre : une vaste rétrospective en
1,9 kg d'images (dessins, photographies, tapisseries, sculptures), avec également les œuvres d'artistes invités : Keiichi Tanaami, Bruno Richard, Samplerman, Jan Švankmajer, Dr Karayom, etc.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
Ce numéro de Flash Art inaugure une nouvelle identité graphique, un nouveau format avec un nombre de pages doublé et de nouvelles rubriques, ainsi qu'un calendrier devenant saisonnier. Le numéro explore l'hybridation dynamique des langages de l'art contemporain autour du thème du processus curatorial.
Cette publication explore les principes clés de la recherche et de la pratique de l'artiste néerlandaise autour du langage, tels que l'utilisation et la modification contemporaines des langues, la fonction des noms dans le langage parlé et la pratique de l'autodénomination.
Cette luxueuse monographie présente une large sélection des œuvres d'Izumi Kato, peintre et sculpteur japonais connu pour ses mystérieuses représentations de figures humaines à l'esthétique primitive, et des vues d'exposition. Elle est accompagnée de quatre textes critiques originaux et d'un poème de l'artiste.
Un ouvrage collectif pour repenser un cosmopolitisme « mineur » et pluriel, débarrassé de son attache capitaliste, à travers
la mise en avant de traditions et pratiques alternatives du vivre-ensemble dans le monde.
Refusant de laisser à la seule technique le soin de déterminer notre rapport à l'aventure spatiale, le 19e numéro d'Espace(s) a engagé ses contributeurs, et engage à présent ses lecteurs, à se lancer dans le Grand Jeu de l'Espace.
La première publication à fournir une vue d'ensemble des premières activités performatives de Kusama, avec des photos inédites et des œuvres oubliées provenant de collections privées.
Les presses du réel – Art contemporain – Monographies
Un projet d'ampleur mené avec vingt artistes et chercheurs internationaux autour de Fordlândia – ville construite à partir de 1928 par Henry Ford en Amazonie afin d'exploiter intensivement l'hévéa nécessaire à la fabrication des pneumatiques, devenu un petit village au milieu d'un patrimoine industriel au statut incertain –, interrogeant l'échec et les conséquences du projet moderne occidental et colonial du fordisme dans le contexte politique, économique et environnemental actuel.
Fragments de la poésie totale et photo-poèmes du poète, performeur et artiste franco-chinois, figure emblématique de la résistance artistique et culturelle chinoise. L'édition de tête réunit les deux volumes (Épisode 1 et 2), numérotés de 1 à 20, avec une œuvre originale signée insérée dans chacun d'eux, constituant un dyptique.
Les presses du réel – Histoire de l'art – Œuvres en sociétés
Une mise en perspective historique de la représentation des arts extra-occidentaux dans les musées et dans l'imaginaire occidental, un point de vue comparatif avec les Etats-Unis et une mise en lumière des liens entre arts d'Afrique et avant-garde (nouvelle édition actualisée).
Les presses du réel – Histoire de l'art – Hors-série
Une analyse collective de l'émergence du « contemporain » et des logiques transnationales et transhistoriques à l'œuvre dans les pratiques artistiques à Dakar face aux questions soulevées par la globalisation depuis les Indépendances, ouvrant de nouveaux territoires aux investigations tant sociologiques, économiques, politiques, qu'esthétiques.
Le film de Gilles Coudert, raconté par Charles Berling, met en scène le dialogue entre l'art contemporain et le patrimoine au sein du Domaine de Chaumont-sur-Loire, Centre d'Arts et de Nature, regroupant le château et son parc de sculptures contemporaines.
S'appuyant sur une tradition de poésie socialement engagée, Brandon LaBelle raconte avec The Other Citizen la crise contemporaine et les politiques d'exclusion, de la privatisation néolibérale aux frontières des États-nations, mettant en évidence la force potentielle d'une citoyenneté planétaire.
Le « catalogue dé-raisonné » de l'ensemble de la production imprimée de la maison d'édition indépendante Beau Geste Press, qui fédéra poètes visuels, néo-dadaïstes et artistes internationaux affiliés à la mouvance Fluxus entre 1971 et 1976.
Une généalogie subjective de femmes artistes, du XIXe au XXIe siècles, à travers les affinités et les résonances qui les unissent, affirmant les pouvoirs d'une lecture féministe et queer des pratiques artistiques.
Publiée à l'occasion de la première grande exposition personnelle de l'artiste portugais Diogo Pimentão, cette monographie rétrospective, bilingue, riche d'une dizaine de textes inédits et d'un long entretien, dévoile les enjeux d'une pratique du dessin résolument élargie, nourrie autant par la danse que la sculpture ou encore la performance.
Première monographie d'envergure consacrée à l'œuvre inclassable de Marion Baruch, cet ouvrage abondamment illustré couvre l'ensemble de sa carrière, des années 1960 aux productions textiles récentes, avec trois essais et de nombreux textes des proches de l'artiste.
Une rétrospective de deux expositions provocatrices et emblématiques des mouvements contestataires à Zurich dans les années 1970-1980, Frauen sehen Frauen (« Les femmes voient les femmes ») organisé par un collectif « créatif-féministe » et Saus und Braus, qui avait donné la parole à la jeune scène artistique et musicale punk et avait marqué les débuts de la carrière de la curatrice Bice Curiger.
Première monographie consacrée au Musée des erreurs de Pierre
Leguillon : une exposition itinérante composée d'artefacts visuels
issus de la culture de masse et de l'artisanat, interrogeant avec humour
et subversion les mécanismes de la société de l'image.
Des années 1970 jusqu'à sa mort en 2000, le scientifique, artiste et
collectionneur Andreas Züst a séjourné de nombreuses fois au Groenland,
photographiant la glace sous ses formes les plus diverses. Cette publication
rassemble une sélection issue de cette vaste série.