Une étude des spécifités et des évolutions de
l'historiographie française durant la première moitié du XXe siècle (époque où la discipline s'institutionnalise en France), dans ses différentes dimensions – épistémologiques, idéologiques, mais aussi plus largement sociales et culturelles.
Publié suite au colloque international éponyme organisé par l'INHA, Paris, en novembre 2011.
Nommé Walter H. Annenberg Professor of Art and Art History à Duke University en 2003,
Neil McWilliam s'intéresse tout particulièrement aux rapports entre la critique d'art, l'esthétique et les idéologies politiques. Il a notamment publié
Rêves de bonheur – L'art social et la gauche française (1830-1850)
(Les presses du réel, 2007).
Ancienne pensionnaire à l'INHA (2008-2012), Michela Passini y était responsable du projet de recherche L'historiographie française de l'art 1900-1950. Nommée en 2012 chercheure au CNRS (Ecole normale supérieure, Institut d'histoire moderne et contemporaine), elle est spécialiste de l'historiographie de l'art et de l'histoire des musées et du patrimoine.
Elle a notamment publié :
La fabrique de l'art national – Le nationalisme et les origines de l'histoire de l'art en France et en Allemagne (1870-1933) (MSH, 2012),
Maurice Barrès – La grande pitié des églises de France (INHA / Presses universitaires du Septentrion, 2012),
La correspondance allemande d'Eugène Müntz – Aux origines de l'institutionnalisation de l'histoire de l'art (Armand Colin, 2012),
Le Génie dans l'art – Anthologie des écrits esthétiques et critiques de Gabriel Séailles (dir. avec Sarah Linford, Kimé, 2011).