Arts sonores

Rassemblant des œuvres inédites enregistrées entre 2018 et 2021 et une pièce épique du début des années 1980, Drumming Up Trouble se concentre sur un aspect jusqu'ici presque inconnu du vaste univers musical d'Alvin Curran : ses expérimentations avec des percussions échantillonnées et synthétisées.

Donnant à entendre un enregistrement live inédit de 1987, ce disque rend compte de toute la diversité, de l'énergie et de l'aspect ludique des concerts donnés par le Duo Geloso d'Arnold Dreyblatt et Paul Panhuysen dans toute l'Europe à la fin des années 1980.

Réalisé à partir d'enregistrements de terrain, de sonorités orchestrales échantillonnées et d'enregistreurs vocaux, la nouvelle production de l'artiste et compositeur new-yorkais explore les dimensions matérielles et spatiales du son dans un langage acousmatique délicat, à travers des collages expressionnistes et cinématographiques.

Une anthologie de morceaux de silence issus de l'histoire du disque (Andy Warhol, Sonic Youth, Yoko Ono, John Lennon, Whitehouse, Yves Klein, Sly and Family Stone, etc.) – des morceaux de silence conçus, produits et enregistrés spécifiquement pour le support disque et sa nature reproductible, révélant ainsi sa matérialité à l'état nu.

Une anthologie de partitions verbales et graphiques à utiliser en marchant, depuis Fluxus jusqu'au œuvres critiques d'artistes actuels, en passant par la tradition des musiques expérimentales et la performance, réunies et présentées par Elena Biserna.

Frédéric Acquaviva, en Mozart de la cour d'assises, s'interroge, avec ce seul exemple connu d'art sonore judiciaire, sur la justice et son fonctionnement, mais surtout insiste sur la fragile barrière qui sépare les criminels des honnêtes compositeurs.

Une rétrospective des performances et installations immersives avec lesquelles l'artiste sonore, plasticienne, compositrice et musicienne israélienne explore la physicalité du son.

Le nouvel album de l'une des voix les plus originales de l'art sonore britannique.

La musique, le son, la mémoire et la perception dans la pratique et l'œuvre de Latifa Echakhch.

Une création radiophonique autour de la matérialité du son et de l'air.

Performance inédite de l'ensemble Selten Gehörte Musik (ici : Christian Attersee, Gerhard Rühm, Oswald Wiener) lors de la clôture du festival « Literanover » au Kunstmuseum Hannover, le 16 novembre 1980. Près de deux heures de musique de danse effectivement très « rarement entendue ».

Un album poétique et « environnemental » (au sens le plus large du terme), mêlant instrumentation délicate et voix parlée.

Un album poétique et « environnemental » (au sens le plus large du terme), mêlant instrumentation délicate et voix parlée.

Les traces acoustiques prémodernes comme bases pour de nouvelles communautés de pensée dans le présent (un projet répondant au travail de l'archéologue acoustique autodidacte Umashankar Manthravadi).

Un projet curatorial basé sur la pratique d'archéologue acousticien de Umashankar Manthravadi, réunissant des écrivains, des chorégraphes, des compositeurs, des acteurs, des danseurs, des musiciens, des preneurs de son et des sound designers.

L'artiste basé à Istanbul Koray Kantarcioğlu élargit son spectre sonore en intégrant dans sa pratique très personnelle de l'échantillonnage des extraits de disques turcs des années 1960 et 1970, de télévision d'époque, de cassettes new age des années 1980 et d'enregistrements de jazz, pour produire une collection onirique, « hantologique » et entêtante de vignettes sonores flottantes.

Francisco López propose une nouvelle composition de field recording basée sur les enregistrements réalisés sur l'île de Tenerife lors d'une visite pour une performance au Keroxen Festival en 2020.

Poésie contemporaine de langue arabe : Sara Elkamel ; Photo-Légende : Marc Ribot ; interview de Bill Nace par Michel Henritzi ; extrait du dernier livre de David Grubbs, inédit en français, et article sur David Grubbs par Laurent Nerzic ; interview de Werner Durand par Deborah Walker ; interview de Paulina Owczarek par Gérard Rouy ; focus Insub.Records ; 80 chroniques de disques...

Abondamment illustrée, cette monographie offre pour la première fois un aperçu complet des œuvres de l'artiste libanais réalisées depuis plus d'une décennie, et analyse un vocabulaire formel caractérisé par l'esthétique du son et du langage.

Un projet noise expérimental qui synchronise le son avec l'image sous la forme d'une longue performance solo (la publication accompagnant l'installation performative et immersive de Marco Fusinato pour le pavillon de l'Australie à la 59e Biennale de Venise, avec des textes de Branden W. Joseph, Elizabeth Povinelli, Chus Martínez, Thurston Moore, Stephen O'Malley, Bruce Russell, etc.).

Un « récit-poème », constituant l'un des volets d'un projet de Jean-Guy Coulange comprenant aussi deux pièces radiophoniques et une exposition.

Un collage sonore composé à partir de 400 heures d'enregistrements réalisés par les deux artistes pendant les deux années de rénovation de leur maison dans le quartier de Prenzlauer Berg à Berlin.

Offre spéciale pour l'achat de sept numéros du livre-revue annuel OpticalSound, entre musique expérimentale et art contemporain.

Au sommaire du huitième numéro du livre-revue annuel OpticalSound, entre musique expérimentale et art contemporain : entretiens avec Michael Gira (Swans), Ghislain Mollet-Viéville, Jérôme Lefdup, Éric Mangion, Pierre Leguillon, Norscq & Guillaume Ollendorf ; Roxane Bovet, Mathieu Copeland et Laurent Schmid autour de John Armleder ; les artistes face à la valeur de leur travail par Sophie Cras ; Stéphane Margolis ; les dix disques préférés de Marie Losier ; Abbas Kiarostami par Alain Bergala...

Une composition en deux parties qui associe deux dimensions antagonistes et complémentaires : un texte de données lu par l'artiste ORLAN et un orchestre virtuel composé de quatre chanteurs (Loré Lixenberg, Joan La Barbara, Wills Morgan et Jacques Lizène) et de 124 instruments différents.

La nouvelle réalisation solo du musicien français Pascal Battus : quatre pièces composées exclusivement avec des cymbales, produisant différents types de résonances et autant d'étendues sonores.

Iannis Xenakis par Kasper T. Toeplitz ; entretiens avec Delphine Dora, Paul Lovens, J.A. Seazer, Frédéric Blondy ; Fred Van Hove par Gérard Rouy ; carte blanche à Julie Hascoët ; les notes de lecture et une soixantaine de chroniques de disques ; poésie arabe contemporaine : Mina Nagy...

Une vision poétique et « nécropolitique » de la socialité au Mexique.

Un album de l'artiste sonore canadienne issu d'une commande radiophonique, basé sur des fragments sonores enregistrés à travers le monde : un assemblage subtil, labyrinthique et poétique de sons concrets et d'atmosphères bourdonnantes qui évoluent aux frontières de la perception (avec Oren Ambarchi et Seiji Morimoto qui interviennent aux percussions et à l'électronique).

Steve Roden, pionnier de la musique « lowercase », utilise de minuscules objets « pauvres » comme des sifflets en étain, des boîtes à musique et des harmonicas jouets pour rendre un hommage évocateur à l'architecte et peintre grec Dimitris Pikionis avec une pièce sonore méditative, bruissante, vibrante et comme en suspension, à la fois « environnementale » et particulièrement musicale.

Une expérience électroacoustique immersive et affective des espaces de l'Antarctique.

Un journal intime tenu entre mars 2020 et mars 2021, rendant compte des conditions d'enfermement telles que vécues par l'auteur en 100 courtes entrées poétiques.

Une galerie de portraits de personnes en situation d'écoute d'une œuvre de Frédéric Acquaviva en cours d'élaboration, mis en page à la manière d'un flip book.

Une édition hybride (disque vinyle, livret sous forme d'un journal et insert) qui prolonge les recherches de l'artiste sur les liens entre son, architecture, hantise et histoire du spiritisme.

Une série d'improvisations in situ sur le mont Tamborine en Australie.

Le premier disque vinyle de la pionnière de l'avant-garde Fluxus (édition remasterisée à partir des bandes originales, avec un livret de 20 pages).

Poésie contemporaine de langue arabe : Lamis Saïdi ; Pascale Criton ; hommage à Peter Rehberg par Jérôme Noetinger ; Romain Perrot aka Vomir ; Michel Doneda ; festival de Wuppertal / Peter Brötzmann ; Yosuke Yamashita ; 45 chroniques de disques...

Deux pièces basées sur le texte canonique Aktual University de Milan Knízak, datant de 1967, contenant dix courtes conférences qui décrivent le caractère de l'université idéale – sur les conflits, les rêves, les révolutions, l'amour, la croyance, l'art, etc. Ces conférences devaient servir d'inspiration pour les cours, séminaires et discussions organisés dans l'université.

Un escalier ruisselle, non pas d'eau mais de sons : livre / CD consacré à l'impressionnant « dessin sonore » de Fritz Hauser pour la Fondation Vincent van Gogh à Arles.

Le double album de Jean-Marie Massou présentant, de façon brute, les enregistrements réalisés à la fin des années 1970 dans une citerne géante.

Le renoncement à l'art / l'art du renoncement.

La troisième collaboration entre Félicia Atkinson et Jefre Cantu-Ledesma – leur premier album réalisé ensemble dans le même studio : un dialogue électroacoustique, poétique, fluide et sensible entre les deux expérimentateurs.

Construit à partir de strates de textures et de tonalités déconstruites et de percussions arythmiques, le nouvel album du duo condense six années de travail en neuf réinterprétations fragmentées et aériennes du minimalisme – toutes surprenantes, rigoureuses sur le plan créatif et d'une beauté saisissante –, aux confins de la pratique électroacoustique contemporaine et de la musique concrète.

L'une des œuvres les plus belles et les plus puissantes de Phill Niblock, interprétée sous sa direction par l'Arditti String Quartet, David Watson et le Phoenix Ensemble de Bâle.

Un livre d'artiste avec lequel Armin Lorenz Gerold explore les paradoxes de l'écoute et de la perception acoustique, entre immédiateté émotionnelle et mise à distance rationnelle.

L'une des œuvres les plus belles et les plus puissantes de Phill Niblock, interprétée sous sa direction par l'Arditti String Quartet et David Watson.

L'une des œuvres les plus belles et les plus puissantes de Phill Niblock, interprétée sous sa direction par le Phoenix Ensemble de Bâle.

Une performance magistrale inédite de Strumming en 1975 à Anvers.

Une dérive initiatique à travers l'art sonore complexe, multiple et singulièrement innovant de Frédéric Acquaviva.