Le premier album d'Eiko Ishibashi pour le label Black Truffle, produit pour l'exposition « Japan Supernatural » à l'Art Gallery of New South Wales, Sydney, sur le thème des histoires de fantômes et du folklore japonais à partir de la période Edo, s'éloigne de son écriture pianistique antérieure et révèle un intérêt croissant pour l'électronique et les collages sonores.

Les enregistrements des voix des morts issus des archives du parapsychologue letton Konstantin Raudive (1909-1974) et de Gerhard Stempnik (musicien membre de l'Orchestre philharmonique de Berlin et ami de Raudive), accompagnés de réinterprétations inédites.

EP vinyle tiré du 12e album du duo bruxellois inclassable Silk Saw, figure de la scène électronique expérimentale.

À la fois disque numérique et livre d'artiste, cette publication sonore documente la rencontre de trois musiciennes à travers douze pages imprimées au risographe et un hyperlien pour télécharger sept improvisations.

Une vibrante adaptation scénique du livre de Louis Calaferte par Virginie Despentes, mis en musique par le groupe de rock Zëro.

Éric La Casa sonde son milieu sonore intérieur au travers de l'enregistrement de son appartement parisien, d'un atelier d'artiste et des espaces vides d'un musée.

Une pièce de musique industrielle concrète composée dans les studios du GRM à partir d'enregistrements de terrain d'une usine de pressage de vinyles, constituant une mise en abyme de la forme du disque.

Une collection intemporelle de neuf paysages sonores minimalistes évocateurs du compositeur électroacoustique italien, à nouveau disponible en vinyle (version remasterisée par Giuseppe Ielasi) après dix ans.

En octobre 2013, Charlemagne Palestine, Mika Vainio et Eric Thielemans se sont réunis pour la première fois, pour une résidence de quatre jours et deux performances live aux Ateliers Claus à Bruxelles. Ce disque, pour lequel les performances ont été éditées par Thielemans, mixées et masterisées par Frederic Allstadt, témoigne de l'intensité de la rencontre.

Le nouvel album du multi-instrumentiste, compositeur et producteur britannique, son premier disque solo depuis 2017, procède par touches impressionnistes mêlant fragiles pistes de piano, harmoniques célestes de carillons et esquisses de guitare pastorale.

Le nouvel album de la violoncelliste, compositrice et improvisatrice Okkyung Lee est peut-être son disque le plus aventureux, innovant et abouti à ce jour, mêlant élégamment compositions néoclassiques délicates et improvisation libre, mélodies à la simplicité apparente et complexité tonale et structurelle, influences traditionnelles coréennes et expérimentation d'avant-garde.

Six pièces explorant les espaces multiphoniques à la clarinette et au saxophone alto, les espaces liés au souffle et les paysages soniques élaborés par l'amplification.

Une pièce électroacoustique hautement psychédélique de 1981 construite sur des motifs fractals dans les studios du Groupe Musiques Vivantes de Lyon, et une autre composée presque quatre décennies plus tard, axée sur les chants d'oiseaux et les sonorités de la forêt.

Le premier album du musicien et artiste japonais Teruyuki Kurihara sur Mille Plateaux, inspiré par notre relation à la nature et les cycles de destruction et de création, même musique industrielle, expérimentale et minimaliste.

Daniel Menche tisse pour la série MMXX un paysage résonnant et bourdonnant, ponctué de cordes frappées d'une densité saisissante, dont la richesse se dévoile au fil des écoutes : une reconceptualisation sombre et pourtant particulièrement séduisante du minimalisme.

Pour la série MMXX, Carl Michael von Hausswolff créé une œuvre immersive, ondulante et glaciale dont les éléments microscopiques contredisent l'apparente uniformité.

La rencontre entre le contrebassiste chanteur Fantazio et les travailleurs comédiens de l'ESAT Turbulences de Paris.

Enregistrement inédit d'un concert de Das Moabiter Duo (Sven-Åke Johansson et Thomas Kapielski), réalisé en 1983. Une improvisation éclectique, mêlant percussions, manipulations électroniques et musique concrète, offrant un instantané de la scène berlinoise expérimentale des années 1980.

Quatre études du compositeur de musique électronique québécois, réalisées durant son apprentissage au Conservatoire de Musique de Montréal entre 2017 et 2019.

Disque / livre d'artiste : un vinyle semi-transparent dont chaque exemplaire est unique, accompagné d'un livret de 36 pages avec 16 dessins de Stéphane Thidet, sous une pochette cartonnée.

Le deuxième album de l'artiste canadienne explore la dérive sonore à travers deux pièces immersives : The Nonsuch évoque les hallucinations auditives nocturnes, tandis qu'In Praise of Blandness se construit autour du concept de « fadeur » édifié par le sinologue François Jullien.

Le premier duo de Quentin Rollet (saxophones, synthétiseur, électronique) et Romain Perrot (claviers, électronique, voix).

Un disque vinyle extraordinaire accompagné d'un long-métrage (125 minutes) sur DVD documentant la musique du balafon du peuple Lobi, enregistrée à Gaoua et dans les environs, au Burkina Faso, par Dirk Dresselhaus (Schneider TM), Julian Kamphausen et Arved Schultze.

Un accordéon et deux platines pour une musette abstraite.

Première édition vinyle de l'album culte de David Shea, à l'occasion des vingt-cinq ans de sa sortie : une série de compositions associant samples et instruments classiques, dressant des passerelles inattendues entre philosophie chinoise, easy listening et musique expérimentale.

Une nouvelle plus qu'étrange de l'écrivain et réalisateur allemand Hanns Heinz Ewers (1871-1943), accompagnée d'une nouvelle pièce musicale de de Nurse With Wound sur mini CD.

Coffret hors-norme regroupant cinq ouvrages, un vinyle et une couverture isolée, chacun mettant en lumière différentes pratiques liées à la transformation de l'écriture et de la parole à l'heure de la communication numérique, créant ainsi une réflexion plurivoque sur le langage comme « lieu » de la mondialisation.

Le nouvel album de Frédéric Acquaviva – une pochette de disque avec QR Code mais sans disque, limité à 100 copies : un opéra de 69 minutes pour voix (avec Joël Hubaut, auteur du texte, Dorothy Iannone et Loré Lixenberg), « dead electronics » et vidéo.

Les enregistrements live inédits de Phill Niblock de 2007 et 2019 (orgue, joué par Hampus Lindwall, et bandes).

Premier album solo officiel de Claire Bergerault, Stick Slip est un incroyable nuage de fréquences où voix et accordéon vrillent l'espace telle une musique électronique aux effets psychoacoustiques. Un disque léger et intense à la fois, toujours sur cette frontière acoustique qui fait résonner l'oreille interne comme un mini oscillateur.

Une pièce créée en 2013 qui constitue une étape vers l'application de techniques spectrales dans un environnement électroacoustique.

Vaste composition croisée de Jean-Yves Bosseur et Benjamin Bondonneau créée pour l'ensemble bordelais le Un (un ensemble d’improvisateurs constitué de 25 musicien-ne-s). Une pensée sauvage vers Claude Lévi-Strauss et sa notion de « bricolage ».

Mads Emil Nielsen poursuit sa série Framework, une collection de partitions graphiques ouvertes dessinées à la main et d'enregistrements, en collaboration, pour ce deuxième volet, avec Andrea Neumann, Jan Jelinek et Hideki Umezawa.

La rencontre du groupe de rock Melmac avec la poétesse Anne-Claire Hello.

Première grande monographie consacrée à l'œuvre radicale du Suédois, peintre, dessinateur, sculpteur et précurseur des arts sonores (CD audio inclus).

Ce double album est un hommage au Pizzica, une musique ancienne du sud de l'Italie qui guérissait du tarentisme, une maladie mystérieuse causée par une araignée. Il comprend des enregistrements de musiciens exorcistes des années 1950 et leurs remixes par des artistes électroniques contemporains.